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  • Adrianna Paliyenko

  • Bridget Horwood

    • La forme du texte est une ode, mais il peut être considéré une ballade aussi. La forme de texte peut être une ballade  parce que c’est un poème composé de trois strophes. Mais, on a décidé que c’est plutôt une ode grâce au titre de poème : “Ode à Cassandre”. Aussi, c’est une ode parce que c’est vraiment un poème lyrique qui peut être chanté. Une autre raison pour laquelle on a pensé que c’était une ode est parce que Ronsard parle de ses sentiments qui sont très intimes et qui viennent de son âme, ce qui est typique d’une ode.

    • Il est évident qu’il compare cette fille à une rose et qu’il pense que les deux sont semblables.

    • Il appelle Cassandra “Mignonne,” se qui est un terme pour les gens qui se connaissent bien, donc, quelle est la relation entre Rosard et Cassandra? Est-ce qu’ils sont amoureux?

    • Dans la poésie, la rose symbolise souvent l’amour, la beauté, et la vertu.

    • Les mots que nous devions chercher dans le dictionnaire était “tâtant et étincelle.” Dans le contexte du poème, nous pensons que “tâtant” signifie, peut être, un sentiment. Nous pensons que “étincelle” est ce qui se passe quand vous frappez deux choses ensemble et qui est associée à l’image d’un feu. Dans le contexte du poème, le feu a représenté l’amour passionné, donc peut-être “étincelle” représente la passion.

    • L’image principale évoquée par le texte est un feu qui brûle. Les mots du strophe qui l’évoquent sont “feux” et étincelle.” Comme Paige a dit, nous pensons que le feu symbolise l’amour passionné. Donc, le mot “étincelle,” qui aide à créer l’image d’un feu, se lie l’idée du feu avec l’amour parce que le mot nous fait penser à deux personnes qui ont “la chimie.”

    • Chaque être humain risque de faire face à la peine des désirs inassouvis. On peut voir cette souffrance dans le poème « Ô longs désirs » de Louise Labé (1524 – 1556). Le thème le plus important dans ce poème est que personne, même s’il est privilégié, n’est immunisé contre la souffrance qui est produite par les désirs inassouvis. Labé utilise les mots qui créent l’image d’une femme qui est très blessée par l’amour non partagé. Elle sent la peine pas seulement dans son cœur, mais aussi dans tout son corps.

      Louise Labé était une écrivaine provocante de la Renaissance. Elle était différente des autres femmes de son époque parce qu’elle avait l’occasion d’être instruite par son père. Aussi, elle s’est éloignée des écrivains de l’époque parce qu’elle a écrit sur des sujets anciens, comme l’amour, d’une nouvelle manière. Par rapport aux autres écrivains de son temps, les poèmes de Labé sont plus sexuels que ceux d’autres écrivains comme Pierre de Ronsard. Par exemple, dans son poème « Ode à Cassandre, » Ronsard utilise une rose, qui est un objet décoratif, pour expliquer son amour, mais au contraire Labé utilise son corps pour décrire son désir. Aussi, la femme dont Ronsard parle est l’objet de désir, mais Labé n’est pas l’objet de désir, elle est celle qui désire quelqu’un d’autre.

      Dans ce poème, les désirs qui sont inassouvis sont à cause de l’amour non partagé. Cet amour non réciproque est aussi montré dans la peinture Ophelia (1852) de John Everett Millais. En regardant Ophelia  de John Everett Millais, le spectateur peut voir l’élément central, Ophelia, qui est une femme de la même époque et de la même classe sociale que Labé. Ophelia est un personnage d’« Hamlet » de William Shakespeare. Dans « Hamlet », Ophelia veut être avec Hamlet, mais son père ne permet pas la relation. Puisque ses désirs ne sont pas assouvis, elle souffre et décide de se suicider. Donc, vous pouvez voir qu’on a deux femmes privilégiées qui souffrent à cause de l’amour.

      Les mots dans ce poème révèlent l’image d’une femme qui se sent la peine dans tout le corps. Ils soulignent que la peine n’existe pas seulement dans le coeur, mais dans le corps entier. Labé a choisi les mots qui expriment la peine, mais aussi ceux qui expriment sa sensualité. Par exemple, elle parle de son corps en disant “mes parts” et “deux yeux” qui montrent comment elle utilise son corps pour décrire sa peine. En évoquant son corps, elle crée l’érotisme dans le poème. Son utilisation du mot « ô » exprime la sensualité et aussi la douleur. Il peut être un cri de la souffrance ou un cri du désir. Les mots soulignent le problème de l’amour non partagé et les désirs inassouvis. Les rimes donnent au poème un rythme lent qui nous permet de sentir le ton sensuel et profond. Labé emploie les sons aussi pour exprimer la souffrance et le plaisir. Si vous regardez les mots sensuels, les rimes, et les sons qui ressemblent aux soupirs et aux cris de la souffrance que Labé utilise ensemble avec la peinture de John Everett Millais, vous pouvez voir la douleur de l’amour et des désirs inassouvis.

    • – Nous voyons dans ce poème un type d’amour qui est complètement différent du type d’amour qui était typiquement montré à cette époque. L’amour dont Labé parle est très sensuel et physique, ce qui est montré avec son utilisation du son « ô. » Il existe un lien intéressant entre les premiers mots du premier vers parce que le « ô » est un son qui représente le désir, le troisième mot. De plus, le « ô » est une représentation physique du sentiment de désir. Mais, il existe aussi une dichotomie entre le premier “ô” et le deuxième. Alors que le premier “ô” représente le désir, le deuxième “ô” est plus semblable au soupir, ce qui est associé à la tristesse et la douleur. Donc, on voit un contraste dans le premier vers.
      – Il y a deux dispositions des rimes dans ce poème. Dans les deux quatrains, les strophes avec quatre vers ont la disposition ABBA, ce qui établit un rythme doux et lent. En outre, l’utilisation des rimes embrassées donne un sentiment d’emprisonnement. C’est possible que Labé se sente piégée dans sa douleur.
      – Cette idée d’enfermement que les rimes montrent est aussi vue dans la peinture Ophelia. Ophelia est submergée dans l’eau et par conséquent, l’eau l’entoure. Elle ne peut pas sortir de l’eau et c’est l’eau qui conduit à sa mort imminente. Donc, peut-être que dans la peinture, c’est l’eau qui est une métaphore de la douleur qui est si profonde qu’elle piège quiconque la sent.

    • – Le mot « soupir » est semblable au son « ô » parce qu’un soupir est une représentation physique de l’idée de tristesse ou de l’idée de soulagement. Dans ce cas, nous pensons que le soupir est un de tristesse, car le mot “triste” est utilisé. Donc, Labé a créé une autre image qui est physique et qui se fait sentir dans tout le corps. En outre, quand quelqu’un soupire, le soupir a tendance à commencer par le nez parce qu’au début, quelqu’un doit inspirer. Après, l’air va à l’estomac et il se lève jusqu’à la bouche où il quitte le corps.
      – La peinture d’Ophelia fonctionne bien avec cette idée d’une expérience complète du corps parce que l’image centrale de la peinture est le corps d’Ophelia, qui occupe la majorité du premier plan. Donc, le corps est l’aspect physique et concret de la peinture qui montre la physionomie de la douleur dans le poème de Labé.

    • – Labé utilise les «rivières» comme une métaphore des larmes qui permettent au lecteur de comprendre la profondeur de la douleur qui vient du désir inassouvi. Les larmes aussi représentent son soulagement parce que quand elle pleure, elle, en un sens, se débarrasse de la tristesse.
      – La peinture montre une représentation visuelle de l’idée qu’une rivière peut être une métaphore de la tristesse parce qu’Ophelia est presque complètement submergée dans la rivière avant et pendant sa mort. De plus, elle est morte parce qu’elle s’est noyée dans la rivière, ce qui illustre l’idée que la rivière, la métaphore de sa tristesse, est ce qui a conduit à sa mort. Mais, on a aussi l’idée que l’eau a une valeur libératrice parce que quand elle meurt, c’est l’eau qui lui permet de fuir sa tristesse.

    • – Labé continue à comparer sa tristesse aux choses physiques du monde comme les « fontaines. »
      – Les couleurs dans la peinture sont, pour la plupart, des tons de terre qui sont en sourdine. Ils donnent à la peinture le même ton que le poème, qui n’est pas joyeux, mais qui est plutôt sombre.

    • – Cette question s’adresse à l’homme que Labé désire, mais peut-être que la question est aussi posée au lecteur. Labé demande, « estimez-vous croître encore mes peines » parce qu’elle a expliqué sa douleur d’une manière très physique et visuelle que le lecteur peut aussi sentir. Par exemple, elle compare ses yeux aux « fontaines, » ce qui crée une image claire de quelqu’un qui est en train de sangloter.

    • – C’est à ce moment que nous pouvons voir la différence entre son amour et celui exprimé par d’autres poètes de l’époque. Par exemple, dans “Ode à Cassandre” de Ronsard, l’amour est symbolisée par une rose. Ronsard écrit « sa robe de pourpre au soleil, » c’est une métaphore des pétales rouges qui représentent son amour. Mais, par contre, nous sentons la douleur de l’amour dont Labé parle. C’est la douleur qui la blesse si profondément à cause des « feux » et des « dards. » Il est également intéressant que le mot “dard” soit utilisé parce que les roses ont des ronces, mais Ronsard n’en parle pas. Donc, en se référant à cette partie de la fleur, Labé précise qu’elle parle de la douleur.

    • – Ce vers fournit au lecteur la source de l’amour. «Amour» avec le «A» majuscule est une allusion au mythe de Cupidon. Dans la mythologie romaine, c’est le fils de la déesse de l’amour. Avec son arc, il a le pouvoir de créer des coups de foudre. Ces dards entrent par les yeux et trouvent immédiatement le cœur, créant un coup de foudre.
      – Dans les deux tercets, la disposition des rimes est CDE DCE. Si on examine les mots qui riment, il y a une signification profonde. Labé utilise la rime pour exprimer que son corps est très blessé, comme, par exemple, « essaie » dans le premier tercet et “plaie” dans le deuxième tercet. Cette rime veut dire qu’on peut essayer de la blesser et la prochaine rime « dards » et « parts » explique la méthode qui a été utilisée. Aussi, les dards de Cupidon veulent trouver son corps, mais la dernière rime « fasse » et « place » suggère qu’il n’y a plus d’endroit sur sa peau où il peut tirer qui n’est pas encore blessé.

    • – Les sons créés par les mots de ce vers expriment l’idée de la souffrance, de la peine, et du mécontentement. Le son « i » dans les mots « il, » « dépité, » et « pis » évoquent la sensation des cris de la peine. Aussi, les sons « p » et « f » dans les mots « pourra fasse » sont explosifs et montrent l’insatisfaction parce qu’ils ressemblent à des soupirs.

    • Phèdre explique à Hippolyte qu’elle lui est, dans un sens, indispensable car elle connaît le mythe du Labyrinthe. Peut-être qu’elle connaît « les détours » du Labyrinthe étant donné ses antécédents familiaux. Phèdre était la fille de Minos, roi de Crète, et Pasiphaé. Mais, Pasiphaé a eu une relation avec le taureau blanc de Crète et les deux ont produit le minotaure, un homme à tête de taureau. Le minotaure était caché au Labyrinthe, fabriqué par Dédale. De plus, comme punition, Vénus, la déesse de l’amour, a fait en sorte que Phèdre tombe amoureuse de son beau-fils, Hippolyte. Le vers « un fil n’eût point assez rassuré votre amante, » montre que Phèdre veut l’accompagner dans le Labyrinthe grâce à son amour pour lui. Donc, les antécédents de Phèdre expliquent pourquoi elle connaît le mythe du Labyrinthe et pourquoi elle veut aider Hippolyte.

  • Camille Herault

    • Cette strophe est un approfondissement de la première : montrez l’articulation entre les deux strophes. En quoi y a-t-il reprise et variation ? En quoi l’anaphore (répétition) de l’exclamation est-elle ambivalente ?

      Etudiez les rimes : quel système (embrassées, croisées,…) ? Sont-elles riches ou pauvres (combien de sons sont répétés) ? Qu’est-ce que l’association de deux mots par la rime crée comme impression? Est-ce que les deux mots s’opposent ou se complètent ?

      Au vers 6 : est-ce qu’il y a un jeu de mots avec l’expression peine perdue ?

      Sonorités : étudiez les consonnes qui reviennent. Quelle impressions cela crée-t-il ?

    • Et comment le vers montre-t-il cela ? Etudiez la structure : le parallélisme, le chiasme sonore (le renversement des consonnes t-p; p-d).

      Le possible jeu de mots. Que signifie “peines dépendues” ? Qu’est-ce que l’auteur essaye de dire ?

      L’articulation avec le vers précédent et le vers suivant : y a-t-il des thèmes qui reviennent, des thèmes nouvellement introduits ?

       

    • Qu’est-ce que l’auteur décrit ? Est-ce que les milles morts sont liées à l’idée de tendre et de dépendre ? Est-ce que ce sont des pendaisons donc des envies suicidaires ? Ou les morts sont-elles plus symboliques, liés aux désirs ? Qu’est-ce que désigne le mot morts ?

    • Est-ce que la souffrance n’est pas déjà présente dans la première strophe  mais de manière plus subtile ?

      Quels sont les deux domaines entre lesquels le lecteur doit naviguer ?  Y a t-il vraiment deux domaines ?

    • Ces trois commentaires sont un prélude à la véritable analyse : que représente le feu ? A quel sentiment est-il lié ? Pourquoi est-il évoqué ? A qui se rapporte-t-il ? Est-ce que les deux personnages partagent ce feu ou pas ? Quel est le problème ?

      C’est la dernière strophe du poème, en quoi informe-t-elle le poème tout entier ? Qu’est-ce qu’elle permet de comprendre ? Quand vous relisez le poème après l’avoir lu en entier une première fois, en quoi votre interprétation change-t-elle ?

    • Revoyez la structure rythmique

    • Vos remarques sont presque toutes justes (revoyez la structure rythmique en prenant en compte tout le poème) mais ne consistent pas en une analyse : qu’est-ce que ces rimes nous disent ? Pourquoi est-ce que “doigts” et “voix” riment ? Pourquoi est-ce une rime pauvre ? Comment cela illustre-t-il le sens du poème ?

      Faites des liens entre l’exclamation et le vocabulaire utilisé, notamment les adjectifs

      En quoi ce tercet est-il différent du reste du poème, tout en ayant des similarités avec les quatrains précédents ? Quels liens pouvez-vous tisser entre ce qu’elle décrit dans les quatrains et ce tercet ? Est-ce une relation de cause à effet ou pas ?

      Et en quoi ce tercet s’articule-t-il avec le tercet suivant ? En termes de vocabulaire, de structure rythmique et de thématique,…

    • Est-ce que l’auteur dresse une liste de choses utilisées pour “ardre une femelle” ou précise petit à petit ce qu’il veut dire ? En d’autres mots est-ce que le luth et la voix sont vraiment la même chose ou deux éléments distincts, tous deux utilisés (et donc énumérés) de manière complémentaire dans le but de séduire la femme dont il est question ? Et qui est cette femme ?

      Quelle est cette épreuve ? Pour qui est-ce une épreuve ?

      Si le corps de la femme est un luth, qui en joue ? Pour qui est-ce un luth et en quoi est-ce important pour la compréhension du poème ? Si elle est un luth, elle devient un objet que quelqu’un utilise, qui ? et pourquoi ? A quelles fins ?

      Quelle est la signification des exclamations ? Est-elle nostalgique, en colère, triste, déçue ?

      En quoi le dernier vers annonce-t-il le dernier tercet ? En quoi ce tercet est-il un pivot entre les quatrains et la chute du sonnet, reprenant des thèmes précédemment évoqués et en annonçant d’autres ?

    • L’exclamation “ô” peut désigner quelque chose de positif ou de négatif. L’auteur pourrait être nostalgique de ces moments de flirt. Cependant, dans le second quatrain, la valeur de ce “ô” prend tout son sens. L’auteur énumère toutes ses déceptions.

      Donc, effectivement, elle change de registre, passant du physique à l’émotionnel, mais elle n’approfondit pas que sa description, elle approfondit aussi quelques allusions, elle va plus loin dans la narration de ses déceptions. Comment ? Quels mots du premier quatrain n’acquièrent tout leur sens qu’une fois le second quatrain lu ?

      En quoi est-ce important que les mots à la rime s’opposent ? Qu’est-ce que ça permet de comprendre du poème ? En quoi est-ce lié à ce que l’auteur raconte ?

    • Est-ce que les parties du corps énumérées sont celles de Labé ? Et est-ce que les objets du vers 10 sont symboliques ?

      Le dernier vers explique les deux énumérations précédentes : qu’est-ce que désignent “les flambeaux” ? Par quel mot simple et terre à terre peut-on remplacer ce mot ?

      Qu’est-ce que l’auteur décrit dans ce tercet ?

      Etudiez la gradation du “ris” au doigts et du “luth” à la “voix” : le sourire et le luth sont en surface et peuvent être adressés à tout le monde. Le toucher et la voix sont plus intimes. Quel processus cela désigne-t-il ?

      Et en quoi doigts et voix sont-ils importants ? S’ils riment c’est qu’ils ont une relation, quel qu’elle soit : laquelle ? Est-ce qu’ils s’opposent ou est-ce qu’ils s’unissent ? Comment ? En quoi est-ce lié au thème principal du poème ? A ce que Labé résume au vers 11 ?

      Et pourquoi est-ce une rime pauvre ? Qu’est-ce que ça dit de la relation de Labé avec celui qui l’a courtisée ?

    • Etait-il son amour ? C’est le coeur du poème

      Le dernier vers renvoie au sentiment de réciprocité. En quoi et pourquoi ?

    • Etudiez les chiasmes, ils sont très nombreux dans ce poème en général et dans ce premier quatrain en particulier (exemple : chauds soupirs, larmes épandues -> la place de l’adjectif change) En quoi cela transmet-il ce que l’auteur essaye de décrire, de dire ?

      Les oppositions sont liées à ce que les chiasmes expriment : il y a sans cesse un va et vient entre deux pôles opposés : lesquels ? Et pourquoi ? Quelle idée cela permet-il de communiquer ?

    • Etudiez le parallélisme : en quoi ce vers contient-il à la fois répétition et opposition ? En d’autres termes, quels mots vont ensemble, sont assez similaires et permettent ainsi de véhiculer un certain sentiment et quels mots s’opposent ?

      Comment ces deux groupes s’articulent et quelle image créent-ils à cette occasion ?

      Etudiez les sens utilisés dans le poème : quels sont-ils ? Sont-ils mêlés (est-ce qu’il y a une synesthésie ?) ? Pourquoi manque-t-il certains sens ? Quelle impression cela crée-t-il ?  Comment pouvez-vous l’interpréter ?

    • Pourquoi l’auteur a-t-elle attendu la nuit ? A quel sentiment ce vers fait-il allusion ? (un sentiment que le vers précédent mentionne)

    • Comment exprime-t-elle la tristesse dans ce quatrain ? Avec quelles figures de style, quels adjectifs, quelles associations de mots, quelles rimes ?

      Quelle image, quelle métaphore filée indique la tristesse ?

      Etudiez les chiasmes des deux premiers vers.

      S’il y a de la peur, comment est-elle montrée ?

    • Est-ce que dans ce cas la lumière est réellement un symbole d’espoir ? D’ordinaire oui mais dans ce contexte les lumières célestes évoquent une entité : laquelle ?

      Etudiez le chiasme entre les vers 6 et 7. Pourquoi est-il présent ? Qu’est-ce qu’il apporte, quelle idée exprime-t-il ?

      En quoi l’association de “transi” et de “passions” est-elle intéressante ?

      Les réseaux thématiques : quels mots se répondent, créant une idée, un sentiment que l’auteur veut exprimer ?

      A qui s’adresse la question finale ?

      Quelle est la signification de l’exclamation du premier vers du quatrain ? Est-ce la même que celle du premier quatrain ?

    • Qui est Amour ? Et quel est son lien avec l’arc ? Que signifie dards dans ce contexte ? A quel mythe renvoie-t-elle ?

      En quoi ce tercet est-il lié aux quatrains et au dernier tercet ? Est-ce que ce tercet raconte la cause de ce qui est décrit dans les quatrains ? Pourquoi les deux points à la fin du vers 11 ?

    • Y a-t-il qu’une seule relation ? Fait-elle vraiment preuve d’autorité ou est-elle juste à bout ?

      Liez ce tercet au tercet précédent, ils fonctionnent ensemble.

  • Collette Gould

    • Ponge introduit des personnes comme un autre element qui change le monde. Juste comme une personne peut change l’utilisation d’une cigarette, une personne peut aussi change la paix du monde.

    • Ici Ponge introduit l’idée des passions. Les passions changent le façon que des personnes considèrent le monde et par consequent change l’atmosphère initial. Maintenant, l’atmosphère est plus malheureux avec l’addition d’un nuage de fumée comme l’addition des passions des personnes qui étaient au milieu de pratiquement détruisent le monde pendant la deuxième guerre mondiale.

    • On a cherché quelques mots dans le dictionnaire:

      1. Fronts: la partie devant de la tête

      2. luth: un instrument de musique

      3. plaintif: quand on exprime la douleur

      4. archet: l’objet on utilise a joué des instruments cordes.

      5. flambeau:  une lumière qui on apporte par main.

      6. ardre: quand on dit que quelqu’un doit faire quelque chose et on ne peut pas émettre une objection

      7. femelle: une femme ou une fille.

    • C’est une rime pauvre parce-qu’il y a juste un phonème commun (doigts et voix). La rime de ce tercet est propre à cette strophe parce-que ces mots ‘doigts’ et ‘voix’. Ils n’ont pas la même fin de mot, mais ils ont le même son. Cela aide à créer l’impression que les parties du corps et du luth sont la même. Cette strophe a une rime masculine parce-qu’il ne se termine pas par un ‘e’. Cela fait la strophe plus complexe; on doit chercher le sens de la strophe comme on doit chercher le sens d’une femme. La disposition de la rime dans cette strophe est dans la forme AAB (les rimes plates) et la dernière vers a un vers complémentaire dans la quatrième strophe. Il y a aussi une progression en termes de vocabulaire tout au long de la strophe. Dans le premier vers, Labé utilise le vocabulaire très élémentaire (ris, cheveux, bras), mais dans le troisième vers elle utilise le vocabulaire plus difficile (flambeaux, ardre, femelle). Le vocabulaire plus difficile peut-être interpréter dans quelques manières.

    • Dans ce vers Labé décrit la difficulté des gens utilisent, apprécient et admirent ces parties de corps. Je pense que les mots de ce tercet indiquent que la narratrice est triste, mais les points des exclamations indiquent que ces lignes sont remplies de la passion. Labé a dressé une liste des parties de corps et du luth qui représentent ces parties. Tous peuvent être utilisés par une femme ou pour séduire une femme. Si une femme est un luth cela signifie qu’il peut jouer des mélodies différentes et qu’il peut-être joué pour tout le monde si on apprend la musique. La femme dans ce poème est la narratrice. Elle parle d’elle-même et de son corps et ses désirs. On peut dire aussi que la femme est la tentation, comme Eurydice a été pour la légende Grec Orphée.

    • Une autre interprétation est d’une vis plus féministe. Il semble que Louise Labé compare le corps d’une femme au luth. Juste comme toutes les pièces d’un luth vont marcher si on va jouer la musique; toutes les pièces d’une femme vont être parfaites ou c’est un autre ‘flambeau’ (chose) que quelqu’un peut critiquer. Le dernier vers parle des flambeaux, qui introduit le dernier tercet qui parle de feu. Le feu duquel Louise Labé parle est le désir ardent. Le premier mot de ce vers a changé aussi et il commence par “tant” à la place de “O” et cela aide à terminer le poème.

    • Ici Phèdre supplie Hippolyte de l’imaginer comme elle est son amante. Elle se voit comme un montre qu’Hippolyte peut vaincre. S’il ne l’aime pas, elle va être vaincue.

    • Phèdre décrit l’insignifiance de sa vie si elle n’est pas avec Hippolyte. Cela signifie qu’elle préférerait être morte plutôt que de vivre sans Hippolyte.

    • Le labyrinthe peut-être signifie les sentiers de la vie et elle désire les traverser avec Hippolyte. Elle souhaite qu’elle et Hippolyte ont quitté le labyrinthe en place d’elle et Thésée.

    • Elle décrit la dichotomie de sa vie rêvée avec Hippolyte. Elle serait trouvée parce que ses passions seraient reconnues, mais elle serait perdue dans son amour pour lui. Il est possible aussi qu’elle parle de la difficulté de sortir du labyrinthe.

    • La plus pure forme d’art est la nature. La beauté naturelle peut être recréée par la poésie et les tableaux. Ces deux formes d’art peuvent être souvent des extensions de l’une et de l’autre. Un exemple de cette extension est trouvé avec le poème, Correspondances, écrit par Charles Baudelaire (1821-1867) et publié dans son recueil Les Fleurs du Mal (1857), et le tableau, Dans le jardin, peint en 1904 par Mary Cassatt. Ils forment un rapport fort entre le symbolisme du poème et l’impressionnisme du tableau. Avec cette connexion, ils créent l’effet que la nature peut transcender le temps parce que les dates des publications ont séparé par plusieurs années, mais le thème de la nature reste quand même. Le symbolisme que Baudelaire utilise dans sa poésie est “une représentation figurée ou métaphorique” (CNRTL). L’impressionnisme que Cassatt utilise dans son tableau est “la tendance artistique cherchant à exprimer et à transposer les impressions ressenties face au monde dans un langage spontané, libéré des conventions artistiques traditionnelles, en privilégiant les notations fugitives à la recherche de formes structurantes” (Lexilogos, Dictionnaire Français). Un lien entre le symbolisme et l’impressionnisme souligne le grand thème de la relation entre la nature et des humains.
      Spécifiquement, le tableau Dans le jardin montre une jeune fille et sa mère dans un parc tandis que le poème Correspondances décrit des objets et des sens naturels ce qu’ils créent une relation avec les humains. On peut voir l’impressionnisme du tableau de Cassatt et le symbolisme de la poésie de Baudelaire sont liés par des interactions humaines avec la nature. De plus, on doit se demander comment ces oeuvres suscitent l’interaction entre les humains et la nature? Le tableau montre une femme et sa fille qui visitent un parc, en aimant la nature. La fille cueille une fleur pour sa mère ce qui démontre un aspect physique de cette relation avec la nature, en contraste avec la relation métaphorique créé par Baudelaire avec ces mots. Le poème décrit comment la nature est habituée aux gens, mais peut-on se dispute que les gens ne sont pas habitués à la nature? Ensemble, le poème de Baudelaire et le tableau de Cassatt font une correspondance unique et esthétique plus loin qu’on peut voir immédiatement.

    • Conclusion

      On peut voir que l’art se présente de quelque manière que ce soit plusieurs forms et qu’on peut l’interpréter de plusieurs façons. Ici, il y a deux formes d’art qui ne sont pas liés à l’origine, mais qu’on peux relier par le message qu’on veut partager. Dans le jardin et Correspondances sont des travaux remarquables qui transmettent des sens et des sentiments et créent une très belle image dans l’esprit des spectateurs.

    • Premier Vers
      Les ‘vivants piliers’ représentent des arbres, mais peut-être aussi des gens qui marchent dans la forêt. Quand Baudelaire dit que ‘La nature est un temple’ cela veut signifier la pureté de la nature.

      Lien à la peinture

      Cette représentation de l’innocence et de la pureté est présentée par la jeune fille dans le jardin. Ses couleurs et l’auréole crées par le rosier environnant la tête de la fille montrent cette pureté. Le choix de la couleur rose représente l’amour pour nous-mêmes et pour les autres; cela représente les grands coeurs des enfants.

    • Deuxième Vers
      Les ‘confuses paroles’ sont le bruit du mouvement des arbres dans le vent. Il y a aussi le dialogue interne des gens qui réfléchissent dans la forêt. La nature est un excellent endroit pour l’introspection. Ces confuses paroles sont les efforts des gens pour comprendre leur place dans l’univers.

      Lien à la peinture
      Dans la peinture, la femme semble extrêmement triste quand elle regarde la rose et il semble que des ‘confuses paroles’ abondent dans sa tête. Il y a aussi de grands coups de pinceau qui composent des arbres dans la forêt de cette peinture. Ces coups de pinceau créent l’impression du vent dans la forêt. Ce sont les ‘confuses paroles’ que la peinture transmet.

    • Troisième Vers
      Dans ce vers, Baudelaire parle de l’interaction entre des gens et la nature. “Des forêts de symboles” peut signifier la tendance des gens à réfléchir quand ils sont dans la nature. Des gens profitent de la sérénité de la nature pour clarifier leurs sentiments et pour prendre des décisions.   

      Lien à la peinture

      Ici la femme et sa fille viennent au parc pour interagir avec la nature et bien sûr pour réfléchir. Les symboles que ces personnages peuvent voir sont des roses. Les roses sont en réalité juste des fleurs, mais dans le contexte du tableau elles représentent l’amour et l’innocence pour la jeune fille et les amours passées pour la femme.

    • Quatrième Vers
      Ce vers rappelle au lecteur que la nature et les gens sont plus souvent harmonieux et que c’est juste récemment que les humains se sont détachés de la nature et plus concernés avec le monde synthétique.

      Lien à la peinture
      Ce tableau montre des gens qui essaient d’interagir avec la nature, mais si on est honnête le parc n’est pas naturel de tout. Le banc et le sentier sont synthétiques et le rosier est planté par des gens. Des herbes sont paysagés aussi. Donc cela donne l’impression que des gens de ce tableau sont familiers avec la nature, mais en réalité ce n’est pas la nature.
       

    • Cinquième Vers
      Ce vers est lié au quatrième vers parce qu’il parle de la même façon de l’interaction entre gens. Ici des regards familiers sont reconnus comme une mémoire lointaine. C’est comme une mémoire dont on ne peut pas vraiment se rappeler, donc elle est perdue parce qu’elle est difficile à comprendre.

      Lien à la peinture
      Ici, la rose est un symbole du passé qui attriste la femme. Elle se rappelle des temps passés, mais elle ignore le présent et l’avenir: sa fille.

    • Sixième Vers
      Ce vers indique le lien fort et tendu entre les gens et la nature. Le lien entre les deux n’est pas toujours heureux, mais l’un ne peut pas exister sans l’autre.
       
      Lien à la peinture
      La femme est liée à son passé parce c’est qui elle est. Ce lien n’est pas toujours joyeux ce qui est exemplifié par la tristesse de cette femme.
       

    • Septième Vers
      L’unité des toutes les choses vivantes est au-delà de la compréhension de l’esprit humain. La nuit et la clarté sont deux choses qui illustrent la grandeur de la nature et son grand impact.

      Lien à la peinture
      L’étendue de la nature est comme l’étendue des émotions humaines. Elles sont très compliquées; ils viennent de beaucoup de choses juste comme la nature est composée de beaucoup d’éléments.

    • Huitième Vers
      Ce vers décrit comment les gens peuvent essayer de comprendre la nature, par le bruit, les couleurs et les odeurs

      Lien à la peinture
      La rose représente la jeunesse perdue de la femme. Au lieu de sentir le parfum de la rose lié à la vie qui s’épanouit, la femme y voit sa propre beauté se faner.

    • Neuvième Vers
      Ce vers explique qu’il y a quelques odeurs qui apportent les mêmes sensations et les mêmes sentiments que la fraîcheur “des chairs d’enfants”.

      Lien à la peinture

      La fille a cette fraîcheur, mais sa mère doit reconnaître l’objectif des Correspondances parce qu’elle s’intéresse plus à la rose.

    • Dixième Vers
      Ces “parfums”, mentionnés dans le neuvième vers, dégagent le même sentiment agréable que ceux des “hautbois” et des “prairies.” Ces liens sont plus les comparaisons à part “des chairs d’enfants”, cependant y sont tous des sens agréables – le toucher, le son, la vue, et l’odeur.

      Lien à la peinture
      Pour continuer avec l’idée dans le neuvième vers, la mère trouve des sens plus intéressants et plus engageants que sa fille. Et aussi, peut-être qu’elle ressent ces sens. Il pouvait y avoir un hautbois jouant doucement dans le parc et elle pouvait regarder de petites prairies très vertes dans le parc.

    • Onzième Vers
      “D’autres” font référence aux parfums différents qui ne sont pas les parfums plaisants déjà mentionnés. Ces nouveaux parfums sont plus “corrompus, riches et triomphants,” ils ne sont pas innocents et ils n’ont pas la simplicité agréable.

      Lien à la peinture
      La mère pense peut-être qu’elle se rend compte de ces parfums doux, gentils, et purs, mais dans la perspective de sa fille et peut-être d’autres personnes, elle se fait plaisir dans ces nouveaux parfums plus mauvais.

    • Douzième Vers
      Dans ce vers, en fin de compte, Baudelaire dit que n’importe quoi peut se passer. Les sens sont infinis. On peut trouver des sentiments dans tous les sens, tout le temps parce que les sens créent le monde où l’on vit et alors les sentiments sont partout.

      Lien à la peinture
      La fille est jeune, alors elle a l’avenir entier devant elle, elle a “l’expansion des choses infinies”. Elle a l’option de choisir toutes les routes et toutes les choses qu’elle désire pour le futur.

    • Treizième Vers
      Baudelaire crée une liste des parfums très forts pour indiquer que ce sont des odeurs contrastées aux autres. Ces odeurs sont fortes et peut-être même désagréables, et elles résultent dans une réaction différente d’autres odeurs plus agréables.

      Lien à la peinture

      Les odeurs fortes comme “l’ambre, le musc, le benjoin et l’encens” ne sont pas du parc ni autour de la mère et la fille, elles sont encerclées par de bonnes odeurs. Cependant, peut-être les sentiments en corrélation avec ces odeurs ne sont pas agréables et gentils, peut-être qu’elles sentent le contraire de ces bonnes odeurs…

    • Quatorzième Vers
      Les odeurs listées dans le dernier vers sont tellement fortes qu’elles sont une route directe et fluide pour transporter l’esprit et qu’elles réveillent les autres sens.

      Lien à la peinture
      La fille et sa mère sont encerclées par les odeurs agréables, mais à cause du désintérêt de la mère, la fille est peut-être “transportée” par ces parfums dans un tourbillon intérieur.
       

    • La forme du tableau est impressionniste, alors Cassatt a créé la majorité de l’image, mais elle a laissé beaucoup de détails pour le spectateur d’imaginer. Toutes les deux œuvres d’art inspirent l’imagination des spectateurs à les finir. Le sentier crée l’image d’un cercle et il peut symboliser que la vie elle-même est circulaire. Au contraire, le banc est très structuré, lequel symbolise que la vie humaine est moins libre que la vie de la nature. L’agencement de la femme et de la fille indique que la vie passe vite. La fille a son dos à la nature où elle a trouvé la fleur qui a lui apporté une joie. Mais elle est plus focalisée sur sa mère ou elle veut son approbation. Au contraire, la femme regarde la fleur et la fille comme elle veut être une enfant encore. Juste comme la frontière immense de la nature, des désirs des gens sont immenses aussi. Le visage de la fille désire l’approbation de sa mère et qu’elle veut que sa mère aime la fleur autant qu’elle. Mais il semble qu’il y ait une tristesse dans ses yeux parce qu’elle sait que sa mère ne la lui donnera pas. Le portrait de la mère suggère que la fleur est un rappel des meilleures années. Dans le tableau, le chapeau de la fille est jaune et il y a un cercle qui crée l’impression qu’elle porte une auréole. Cela représente l’innocence et l’espoir des enfants qui n’ont pas de mauvaises expériences. Il y a aussi le rosier qui est derrière la fille. Il encercle son chapeau, ajoutant à l’effet de l’auréole. Le cercle de la vie qui vient de la forêt est un message similaire aux idées de Baudelaire. Dans le poème, Baudelaire évoque presque tous les sens. Il essaie d’aider le spectateur à voir, goûter et sentir la forêt. Cela aide à apprécier l’image de Mary Cassatt parce qu’on peut pratiquement sentir la brise dans le parc. Il y a aussi les ombres du tableau. À droite, avec la fille, le vert est plus clair joyeux. Il y a plus de fleurs sur le rosier. Puis au milieu du tableau, il y a moins de fleurs sur le rosier. Finalement, à gauche du tableau, avec la femme, le sentier rentre dans la forêt dans un vert plus sombre et triste. Ces couleurs réflètent des émotions et des étapes de la vie.

    • Les formes EFE et FGG transmettent que Baudelaire ne peut pas trouver de mots pour décrire l’immensité de la forêt (l’expansion des choses infinies).Les alexandrins indiquent que Baudelaire peint une histoire de la longueur de la vie comme les coups de pinceau sur le tableau de Cassatt qui créent l’image circulaire.  Ce poème est aussi composé de strophes horizontales. Les quatrains donnent l’apparence que la nature est très grande à l’histoire de Baudelaire.  Puis les tercets semblent plus plats comme les parfums diffus des plantes et de la couverture immense de la forêt.

    • Baudelaire parle de l’immensité et de la beauté de la forêt. Il semble qu’on ne puisse pas choisir assez de mots pour décrire sa majesté et ses frontières qui semblent sans fin. Cela est lié au tableau Dans le jardin où les désirs des personnages sont sans fin. Tout le monde veut être dans la position de l’autre. La femme et la fille sont bourgeoises, elles portent des vêtements très chic et propres. Ces vêtements ne permettent pas aux gens de jouer dans la forêt alors il semble qu’elles sont là juste pour observer et pas pour en bénéficier elles-mêmes.

    • L’impressionnisme est évident dans des coups de pinceau de Cassatt qui évoquent le sens d’être incomplet, ce qui complique l’innocence de la jeunesse et la joie qui vient avec l’harmonie de la nature.

    • Le symbolisme est évident quand Baudelaire utilise des termes comme ‘des vivants piliers’ et ‘des confuses paroles’ pour montrer la relation complexe et incomprise entre les être humains et la nature.
       

  • Collette Gould et Lily Wain

    • Dans le quatrième et le cinquième vers, Baudelaire montre que la nature interagit pour une raison et pas pour le plaisir. On peut dire que c’est la même interaction entre les hommes et la nature.

    • Baudelaire compare des enfants et leurs idées à la beauté de la nature, mais quand il dit ‘d’autres, corrompus, riches, et triomphants’ il fait référence aux parties de la nature qui sont mauvaises comme les tempêtes, ou peut-être, les difficultés adultes. Finalement, la nature représente que la vie passe, quelque chose que les gens sont réticents à admettre.

    • Ponge plant le décor. Il écrit sur une femme qu’il voit, peut-être. Cette femme, triste et morbide, fume une cigarette. C’est une métaphore de la guerre, de la monde en feu pendant la deuxième guerre mondial. Elle se fait mal à son corps consciemment comme les gens se font mal à la monde pendent la guerre.

    • Ponge crée une dichotomie entre “brumeuse” et “sèche”. Cette division pouvait symboliser la dichotomie entre les deux côtés différents pendant la guerre, mais les deux sont sombres. Un est “brumeuse” et l’autre est “sèche”.

    • L’image principale évoquée par le texte est plutôt une épreuve. Les mots dans une série deviennent plus précis dans leur nature. Un “front” devient des “doigts”; un “luth” devient une “voix”. La transition à plus défini est une tâche difficile et il y a nombreuse des étapes pour l’accomplir comme les étapes difficile pour courtiser “une femelle” ou une femme.

    • Ce poème suit un vers de dix syllabes donc il est un décasyllabe.

      Par exemple:

      Ô / ris, / ô / fronts, / chev / eux, / bras, / mains / et / doigts!

    • On croit que les parties du corps énumérées, “fronts, cheveux, bras, mains et doigts”, sont celles d’un homme qui l’a courtisée. Les objets de ligne 10, “luth, viole, archet et voix”, sont symboliques parce qu’ils suivent la même disposition que les caractéristiques au vers 9 – de vague à plus spécifique; de la surface au intérieur intime.
      La gradation du “ris” au “doigts” et du “luth” à la “voix” désigne le processus de rencontre quelqu’un ou la progression d’une relation. On devient plus intime avec le temps.
      Les mots “doigts” et la “voix” sont très importants parce qu’ils représentent les caractéristiques importantes après que vous tombez amoureux. Cette rime est comme une chanson. Quand vous tombez amoureux, vous entendez des cloches, et cette idée met en pratique ici. Les mots “doigts” et “voix”, “portant” et “tâtant”, et “femelle” et “étincelle” s’unissent et la rime crée ces cloches.

    • Ce tercet et le dernier tercet suivent la même rime. Les premières deux lignes riment au fin de la phrase – “doigts” et “voix” pour ce tercet et “portant” et “tâtant” pour le dernier tercet. Ensuite la dernière ligne ne rime pas avec les premières deux. Cependant, le dernier mot dans ce tercet -“femelle”- et le dernier mot dans le tercet suivant -“étincelle”- riment! Un lien entre les deux tercets est ainsi créé. Aussi, il y a des thèmes liés. Ce tercet est de désir, il y a les listes des choses qu’elle manque du personne, “ris, fronts, cheveux, bras, mains, et doits, … voix.” Et puis le tercet suivant montre la peine laquelle est issu du désir. Elle dit dans le dernier terse du poème, “en tant d’endroits d’iceux mon coeur tâtant, n’en est sur toi volé quelque étincelle.” Elle désire pour lui et elle sens la peine parce qu’il ne sens pas du tout la même “étincelle”.

    • Elle sent “l’embarras incertain” quand elle reconnait que Hippolyte était comme Thésée mais sans son adultère, ses maux défauts, et plus jeune.

       

    • Elle reconnaît maintenant que dans cette situation, elle peut céder à la tension d’amour.

    • Elle est inspire par cette nouvelle idée qu’elle peut avouer son amour car il n’est pas toujours illégitime et incestueux.

       

  • Douglas et Yipei

    • Comment on Private: Joachim du Bellay on February 6, 2017

      Référence à la brièveté de la vie où le poète compare “nos” vies (par conséquent celle du lecteur et celle du poète) à être simplement un jour face à l’éternité.

       

       

       

    • Champ lexiqual sensuel au travers cette strophe (“beaux”, “regards”, “chauds soupirs”, “luisants”). Diérèse “yeux” qui accentue l’effet de beauté de cet homme et l’effet attirant qu’il peut avoir sur la poète.

      Malgré cela, le sentiment n’est pas reciproque (que l on peut supposer dû à la forme pluriel de “regards”). Cela peut montrer la frustration et la tristesse de la poète face à ce désir innaccessible.

    • Ce vers (« indolents compagnons de voyage ») montre donc l’incompréhension de l’oiseau par les hommes d’équipage. Bien que les gens vivent dans le même environnement que les oiseaux, ils n’arrivent pas à se rendre compte de l’importance de cet oiseau majestueux. Ces oiseaux sont essentiels au fragile écosystème marin et pourraient permettre aux marins d’éviter les orages ainsi que de savoir où pêcher. Ainsi, ce vers fait référence à l’incompréhension du poète. « Suivent » au vers 3 montre le rôle de guide que pourraient avoir les albatros pour les navires à travers les tempêtes (« navires glissant sur les gouffres amers »), mais ces hommes n’en prennent pas conscience. L’albatros est donc capable de guider les hommes vers des terres inconnues, vers des bancs de poissons ou d’éviter les tempêtes. Baudelaire fait donc allusion à l’aptitude du poète à guider le peuple vers l’idéal. Mais pourquoi les marins ne s’en rendent pas compte de l’utilité et la beauté de l’oiseau ? D’après la description des marins, Baudelaire illustre des personnages non ressourcés et qui ne réfléchissent pas. Ils sont omnibulés par les sens et ce qu’ils perçoivent. En effet, ils ne voient qu’un animal dépourvu de force et d’espoir et ne pensent, donc, pas aux éventuelles agilités que l’albatros peut avoir.

    • On voit les marins se moquer de la condition l’albatros. Ils miment l’oiseau maladroit sur le plancher où ses ailes l’empêchent de se déplacer avec facilité. De plus, ils n’osent croire que cet oiseau a pu voler en étant aussi maladroit. Ainsi, le poète est le sujet des moqueries de ses contemporains. L’allitération en « l » apportent une fluidité, accentuent les souffrances physiques et psychiques que subit le poète.

    • Dans dernière strophe, Baudelaire mentionne explicitement la comparaison entre le poète, donc lui-même, et l’albatros (“Le poète est semblable au prince des nuées.”). L’énumération tout au long de cette dernière strophe peut accentuer l’effet de l’apathie que ressent le poète face à sa condition humaine, au spleen et à l’incompréhension de ses contemporains.

    • Comment on Private: Joachim du Bellay on February 6, 2017

      Interpellation de son esprit (“Ô mon âme”): Il s’adresse à son âme et offre l’espoir d’un monde où il pourra reconnaître les vertus du monde terrestre tout en se détachant de son corps qui l’emprisonne jusqu’à la mort à ce monde.

    • Comment on Private: Joachim du Bellay on February 6, 2017

      Antiphrase entre “obscur” et “jour”. Le poète se demande pourquoi doit-il supporter cette abusurdité, cette mélancholie si ce nouveau monde lui permettrai d’avoir toutes les réponses tout en échappant à la condition humaine.

    • Comment on Private: Joachim du Bellay on February 6, 2017

      Description au travers de l’anaphore de ce monde Idèal. Un “monde” où chaque personne peut accéder. Alitération en “L” qui apporte une meilleure fluidité au poème qu’auparavant.

    • Comment on Private: Joachim du Bellay on February 6, 2017

      Thèmes de l’amour, l’esthétique et la beauté ont toujours été très importante chez les auteurs et poètes français. Le poète offre des remèdes face à cette ennui, ce deséspoir: le plaisir, l’amour, l’aspire, la beauté, mais elles ne sont pas sous leurs formes pures. Il ne peut reconnaître que quelques facettes de ces conceptions.

    • Allitération en “n” et pléonasme “noires nuits” qui accentue le désespoir du poète et les conséquences de cette flamme qu’elle ressent car l’amour épprouve n’est pas réciproque.

      Répétition de “vainement” qui ajoute à l’inutilité de cette relation. En d’autre termes, elle souffre pour rien.

       

       

       

    • Phèdre fait quand même une certaine éloge de Thésèe pour montrer qu’elle n’est pas la coupable de l’amour qu’elle a pour hippolyte et faire comprendre qu’elle veut aimer Thésèe.

    • Elle continue l’éloge et fait aussi allusion aux femmes que Thesee à étè avec.

    • Elle continue à essayer de justifier son amour en comparant leur traits physique. En effet, en precisant leur similitudes, elle tente peut-être de parraître moins coupable de ses sentiments pour son beau-fils.

    • Comparaison des traits physique de Hippolyte à ceux de Dieux. Elle tente encore une fois de justifier sa passion pour Hippolyte en faisant passer sa beauté comme divine. Ainsi, elle n’avait pas le choix que de tomber amoureuse de lui.

    • Elle commence sa tirade en montrant l’amour qu’elle porte pour Thésée. Ainsi, elle essaye de paraître moins coupable de ses sentiments pour Hippolyte.

    • Ce commentaire d’après moi serait mieux proposer au vers 5.

    • Comment on Private: Joachim du Bellay on February 6, 2017

      En d’autres termes, pourquoi est-ce que le poète songe tant à ceci si après la mort il pourra atteindre l’idéal?

      Allitération en “p” au travers cette strophe qui accentue les questions que se pose le poète.

    • Comment on Private: Joachim du Bellay on February 6, 2017

      Comme Platon, le poète reconnaît des liens entre le monde terreste et le monde idéal. Des liens comme l’amour et l’esthétique peuvent transcender ces deux mondes. Cela permet donc au poéte de les “reconnaître” en ce monde.

    • Comment on Private: Joachim du Bellay on February 6, 2017

      Le poète semble rester positif face à cette inévitabilité en reconnaissant certaines vertus (la Beauté). Le dernier mot du poème laisse le lecteur sur une note positive nous invitant à voir la beauté enfouie en ce monde.

    • Antiphrase entre la première partie du vers et la deuxième partie. Montrant le dualisme de l’amour, la passion et du désir (“chauds soupirs” qui montre la sensualite epprouve par Labé et “larmes épandues” qui montre la tristesse ensuite ressentit par cette ammour non réciproque), le poète passe sans cesse de la flamme de l’amour aux pleurs causé par cette même passion non réciproque.

      De plus, Le “Ô” peut être analyser de differentes manières. D’une part, les “Ô” en debut de phrases étant en majuscule et associé à l’étât positif du poète se liront d’un ton fort et sensuel alors que les autres en minuscule doivent être lu d’une manière plus calme, presque triste.

       

    • L’anaphore de ce quatrain (« Lui, L’autre, ») sert à représenter l’incapacité des marins à observer autre chose que la situation immédiate de l’albatros. Ils ne réalisent pas que cet oiseau peut les aider à trouver des territoires inconnus, l’idéal. Ceci montre ainsi les critiques et les attaques des contemporains de Baudelaire. De plus, cette anaphore, la répétition d’autrui, crée de la distance entre Baudelaire et ses contemporains. Il est donc isolé et incompris de ses écrivains contemporains ainsi que les différents cercles littéraires.

    • (« Brûle-gueule ») Les marins attaquent physiquement l’albatros et ainsi l’empêche de pouvoir ouvrir son bec. Ceci fait référence au poète qui est non seulement incompris, mais aussi est empêché de s’exprimer. En effet, plusieurs poèmes de Baudelaire parmi lequels se trouvent dans la première édition des Fleurs du Mal (1857) furent censurés. De plus, il n’est devenu populaire en tant qu’écrivain qu’après sa mort en 1867. Ainsi, le poète ne peut pas montrer la voie vers le monde des idées à cause de ses contemporains. Cependant, il n’a pas entièrement échoué, car à cause de la censure de six de ses poèmes, le recueil a reçu énormément de publicité.

    • Les mots « Hante la tempête » montrent donc que l’albatros n’est pas affecté par les mêmes choses que les êtres humains. En effet, les tempêtes et les gouffres sont extrêmement dangereux pour les marins, cependant, pour des albatros, ils n’ont aucun effet sur leurs itinéraires et leur capacité à atteindre leur destination. Tout comme l’albatros, le poète peut guider ses lecteurs à travers les « tempêtes » de la vie commune. Ainsi, peut-être, éviter le « spleen » et atteindre l’idéal. L’énumération tout au long de cette dernière strophe permet d’illustrer un effet, l’apathie. C’est le sentiment que le poète ressent face à sa condition humaine et au manque de compréhension de la part de ses contemporains.

    • “Ses ailes” font référence aux aptitudes du poète. Comme les ailes de l’albatros lui permettent d’atteindre des contrées inexplorées, le poète peut montrer le chemin, la voie vers l’idéal à travers ses poèmes et ses idées. L’idée que ses ailes “l’empêchent de marcher” exprime encore une fois l’isolement et l’impuissance de Baudelaire face à sa condition humaine et au spleen.

    • Frederic Chopin peint par Eugène Delacroix en 1838 représente le portrait du célèbre compositeur Frédéric Chopin. Originellement, le portrait faisait partie d’une plus grande toile représentant aussi Georges Sand, une amie proche de Chopin et de Delacroix. Les deux personnages ont eu une relation amoureuse pendant plus de 10 ans et elle était connue pour des pratiques peu acceptées durant la Deuxième République comme fumée ou portée des vêtements destinés aux hommes. Ce tableau réside désormais à Paris, au musée du Louvre.

      On ne sait pas où porte son regard mais il semble pensif et distant. On peut comparer cet état de réflexion à celui de Baudelaire, le poète incompris. La lumière semble artificielle et provient de la gauche de la composition. Cherche-t-il peut être la lumière? Le monde des idées? Un contraste clair-obscur est très évident entre la veste noire de Chopin et le côté droit de son visage peint d’une couleur pâle qui lui fait paraître malade ou mourant. Peut-il souffrir des mêmes pensées que Charles Baudelaire? Tout comme Baudelaire, il s’est peut-être distancé du monde terrestre et il est capable d’atteindre des idées inconnues de ses contemporains. Cependant, contrairement à Baudelaire, il développe ces idées à travers un différent vecteur que le poète du XIXe siècle. Il compose de nouvelles symphonies afin de guider ces auditeurs au monde de l’Idéal. De plus, le spleen peut provoquer des crises, des angoisses et donc provoquer des symptômes physiologiques. Ainsi, encore, on peut comparer l’état du peintre à celui du poète qui lui-même souffre du spleen. Les contours ne sont pas extrêmement net, ce qui ne nous permet donc pas de clairement distinguer le côté gauche de son visage tout comme ses cheveux semblent se fondre au décor qui souligne l’importance des autres aspects de la composition. Cette technique laisse l’observateur se focaliser sur le visage de Chopin et, par conséquent, rend l’expression de son visage l’élément clef du tableau.

    • Comment on Private: Joachim du Bellay on February 6, 2017

      Répétition de “si” qui peut signifier une certaine impuissance face au desespoire et ennui et au déroulement du temps.

    • Comment on Private: Joachim du Bellay on February 6, 2017

      Dans ce vers, il pose une question ici à son âme emprisonné. Le Verbe songer qui fait allusion au verbe imaginer, le poète rêve d’un monde idéal.

      Allitération du son “m” de la deuxième partie du vers.

    • Comment on Private: Joachim du Bellay on February 6, 2017

      Référence encore une fois à la dualité de la vie. Toute chose née doit mourir. Impuissance face à cette inévitabilité. Du Bellay mentionne de nouveau le mot «si». Cependant, contrairement aux deux derniers “si”, celui-ci n’est pas une hypothèse. Plutôt, il veut souligne que la vie est courte.

    • Comment on Private: Joachim du Bellay on February 6, 2017

      Opposition complète par rapport aux strophes précédantes. Ceci redonne l’espoir aux lecteurs et au poète face à cette inévitable fatalité.

      Anaphore en “Là” qui soutient l’espoir que peut procurer ce monde idéal face à notre condition humaine.

    • Comment on Private: Joachim du Bellay on February 6, 2017

      vers médian, et première évocation du monde idéal. Un monde (comme le paradis chez les chrétiens) qui date de Platon et sa philosophie. Un monde où la “vérité” et les vertus sont exact et parfait, où les réponses existentiel nous sont dévoilées.

  • Douglas et Yipei

    • Comment on Private: Joachim du Bellay on February 6, 2017

      Allitération du son “s” qui peut accentuer l’aspect désespéré du poète.

    • Dans la deuxième strophe, l’auteur décrit la souffrance physique des oiseaux. La synecdoque « déposée sur les planches » désigne le pont du navire. Les albatros ressentent la douleur et la honte sur les planches. Ceci fait référence à l’emprisonnement du poète dans ce monde terrestre. Le pont du navire est la prison de l’albatros comme le monde terrestre est le spleen du poète.

    • Ô / beaux / yeux / bruns, / ô / re/ gards / dé/ tour/ nés,

    • Le genre des rimes de ce poème alterne (ABAB). Par exemple, dans la première strophe, vers un et vers quatre ont la rime masculine. Mais dans le deuxième et le troisième vers, les rimes sont féminines parce que les mots sont féminins, même s’il y a une marque du pluriel.

      Les qualités des rimes varient. Il y a des rimes suffisantes comme « épandues » et « attendues ». Ici, ils ont deux sons communs. Aussi il y a des rimes riches. Par exemple, les mots « détournés » et « retournés ».

      Selon leur succession, les rimes sont embrassées parce que la structure ici est ABBA.

      Le genre des rimes de cette poésie alterne (ABAB). Par exemple, dans la première strophe, vers un et vers quatre ont le rime masculine. Mais dans le deuxième et le troisième vers, les rimes sont féminine parce que les mot sont féminin, même si il y aune marque du pluriel.

      Les qualités des rimes varient. Il y a rimes suffisantes comme « épandues » et « attendues ». Ici, ils ont deux sons communs. Aussi il y a rimes riches. Par exemple, les mots « détournés » et « retournés ».

      Selon leur succession, la disposition des rimes sont rimes embrassées parce que la structure ici est ABBA

    • À l’époque de Baudelaire et de Delacroix, la France est en pleine reconstruction économique et politique. La liberté d’expression et l’abolition de la monarchie permettent à l’un des plus grands compositeurs européens, Frédéric Chopin, de voir le jour. Mais c’est aussi le début de la révolution industrielle pendant laquelle l’un des plus grands poètes du symbolisme, Charles Baudelaire grandit. Malgré une liberté accrue comparée à la monarchie française, ses oeuvres et poèmes sont restés incompris et non reconnus tout au long de sa vie. Dans nos vies, quelles sont les choses les plus importantes ? Qu’avons-nous peur de perdre ? Qu’est-ce qui nous apporte de l’anxiété et de la douleur ? Ces questions nous permettront de mieux comprendre le poème et le tableau. Nous allons donc, dans un premier temps, analyser « L’albatros » de Baudelaire avant de porter notre attention sur le portait de Chopin peint par Eugène Delacroix. Ceci nous permettra de relever des similitudes ainsi que des contrastes entre ces deux œuvres.

      Tout d’abord, “L’Albatros” est un poème de la seconde édition du recueil Les Fleurs du Mal publié en 1861. Le recueil fut immédiatement censuré et jugé immoral lors de sa première publication en 1857. De nombreux poèmes ont été retirés avant la publication de la seconde édition. Le poème fait partie de la section “Spleen et Idéal” du recueil. Ce poème comporte quatre quatrains en alexandrins avec des rimes croisées ou alternées. « L’Albatros » fait partie de la section ” Spleen et Idéal “. Cette section fait référence à l’élévation du poète ainsi qu’aux potentielles raisons de son inévitable déclin. On peut d’ores et déjà distinguer la condition humaine ainsi que le manque de compréhension du poète parmi les raisons de sa mélancolie et de son désespoir. Baudelaire a été inspiré lors de ses nombreux voyages, notamment son voyage à l’ile Maurice. Baudelaire s’est inspiré de cet oiseau, l’albatros afin d’illustrer le manque de compréhension de ses contemporains. Baudelaire nous fait comprendre sa vision et sa pensée incomprises par ses contemporains. Cette incompréhension associée à la condition humaine frustre le poète face à sa recherche de l’Idéal. Il ne propose pas encore de solutions, les raisons de sa mélancolie profonde ou encore l’Idéal invitant le lecteur à continuer le voyage à travers son recueil. Ensuite, le portrait de Chopin, peint par Eugène Delacroix en 1838, était à l’origine un double portait où George Sand, compagnon de Chopin, y figurant. La composition originale comprenait Chopin en train de jouer du piano ainsi que George qui le regarde. La composition a, probablement, été séparée afin de générer plus de profit.

      Afin de comparer le poème de Baudelaire et la composition de Delacroix, nous allons scinder le poème en trois différentes parties avant d’analyser en détail chaque vers. Ensuite nous allons étudier le portrait de Chopin afin de remarquer les similitudes et les contrastes.

      Partie I (1er quatrain) : Association du poète à un albatros, puissant oiseau des mers. Ainsi que la métaphore de « l’élévation » du poète qui est la tentative de dissociation de sa condition humaine et la recherche de l’idéal.

      Partie II (2es quatrains) : Comparaison à la condition humaine, l’albatros est cloué au sol. Ainsi, le poète est forcé de subir le « spleen ».

      Partie III (3e et 4e quatrains) : Symbole de la chute de l’albatros, et, donc, du poète. Ainsi, le poète retombe au sol, incompris et mal adapté à cette vie.

    • Dans la deuxième strophe, Baudelaire utilise l’assonance par répéter le son « eu » dans les mots « honteux », « piteusement », et « eux » pour exprimer le regard honteux des albatros aux yeux des marins. Ces marins associent l’albatros à une créature laide et inutile qui les gênent (« des avirons trainés à côté d’eux »). Une fois encore, l’oiseau n’est pas adapté pour cet environnement et ses ailes qui lui permettent de se déplacer à travers les océans sont inutiles et même l’encombrent.

      De plus, en décrivant le désespoir et la douleur de ces oiseaux, on peut déduire l’ampleur de la condition humaine ou le spleen que ressent Baudelaire. Le poète souffre sur « le plancher » tout comme l’albatros. On peut donc sentir le mécontentement du poète face à ses contemporains qui ne cherchent pas à le comprendre ou qui n’y arrivent tout simplement pas.

    • L’opposition (« roi de l’azur, grandes ailes, maladroit et honteux ») est utilisée par Baudelaire afin de décrire les différentes qualités et idées de chaque monde. En effet, l’oiseau majestueux est extrêmement adapté pour le vol ne peut pas se déplacer (et même vivre) sur le plancher du navire. Ainsi, Baudelaire montre clairement l’incompréhension de ses contemporains face à ces idées. De plus, les qualités requises pour atteindre ce monde sont en juxtaposition avec les idées, les vertus et les coutumes de son temps. L’argent, les biens matériels, l’amour et le pouvoir sont convoités dans toute société humaine, mais aucun n’aboutit à une vie meilleure, ou à des réponses aux grandes questions métaphysiques. Baudelaire, dans ce recueil, touche à toutes ces questions et montre ainsi une autre manière de percevoir le monde, le monde des idées.

    • « Comme il est gauche et veule ! » Les marins ne peuvent pas réaliser l’utilité et la beauté de l’albatros. Ici, Baudelaire compare l’image du « voyageur ailé » avec le poète. En effet, Baudelaire est comme l’albatros, un voyageur ailé qui peut montrer le chemin vers l’idéal. De plus, tout comme les plumes de l’albatros lui permettent de sillonner les mers, la plume du poète lui permet de partager ses idées avec son lectorat et, donc, d’apercevoir le monde des idées. Ceci souligne la situation triste et désespérée de l’albatros. Les gens ne remarquent que l’impuissance immédiate de l’oiseau et s’en moquent. Personne ne prend conscience de l’utilité que l’oiseau pourrait avoir. De plus, cela peut représenter les nombreux critiques de Baudelaire qui n’arrivent pas à comprendre ses idées. Une fois encore, le poète reste incompris et est l’objet des moqueries de ses contemporains.

    • Baudelaire décrit les « [g]randes ailes blanches [qui] se trainent »). Elles gênent l’oiseau collé au sol (mentionnée au vers 8). Ceci fait référence aux vertus ou aux qualités incomprises du poète. De plus, elles peuvent même être encombrantes pour le poète.

    • « Au milieu des huées » exprime la situation du poète face à la critique de son travail, de sa poésie. Il se sent mécontent des commentaires de moquerie de la société, comme il dit, « exilé sur le sol. » Il se sent exclu par le monde et par les gens autour de lui. Le poète est donc prisonnier de ce monde terrestre. Pourtant, il a les moyens de faire voir à son lectorat le monde des idées.

    • Comment on Private: Joachim du Bellay on February 6, 2017

      “Si Notre Vie Est Moins Qu’une journée…” par Joachim Du Bellay est un sonnet composé de deux quatrains suivis de 2 tercets. Dans chaque vers, il y a dix syllabes. Donc, ce sont des décasyllables.

      Dans le poème, Du Bellay discute et compare le corps physique et l’âme immortel. Il utilise beaucoup d’hypothèses dans le poème. Il est pessimiste que la vie soit courte et l’âme est emprisonnée dans le corps physique.

    • Dans ce vers, je pense que les « mille morts en mille rêts tendues » sont plus symboliques. L’amour de Labé n’est pas satisfait. La mort ici, c’est comme un dédale ou une énigme. Labé perdre sa route et elle essaie de trouver la solution tant de fois, mais échoue.

    • Ô /chauds /sou/pirs, /ô /lar/me/s é/pan/dues,

    • Ô /noi/res /nuits /vaine/men/t at/ten/dues,

    • Ô /jours /lui/(z)sants /vaine/ment /re/tour/nés !

    • Dans la première strophe, Labé mentionne les mots comme « vainement » et « soupirs» pour exprimer son désespoir. Aussi, il utilise l’anaphore qu’il répète l’exclamation « ô » au début de chaque vers. Tous les noms, les adjectifs et l’utilisation des figures de rhétorique présentent la souffrance. À mon avis, les thèmes qui reviennent sont l’amour et le désespoir à cause de l’amour; les thèmes nouvellement introduits sont la douleur et la persistance pour l’amour.

    • L’auteur attend la nuit parce qu’elle pense qu’elle peut attend l’amour, l’homme avec « beaux yeux bruns » qui est très loin. Elle sent triste et gémissant, mais dans le même temps, elle insiste lui attendre.

    • détournés : indirect, lointain,
      détourner : Écarter de la voie suivie ou à suivre.
      Soupirs : Expiration ou inspiration plus ou moins forte et prolongée qui rétablit un équilibre respiratoire perturbé le plus souvent par une vive émotion.
      Epandues : Verser abondamment.
      Luisants : Émettre de la lumière.

    • La première strophe est un quatrain. Il y a quatre vers dans chaque strophe. Tous les vers sont des décasyllabes fixés. Ce type de forme donne l’impression de la force, de la plénitude et de la cohésion.

    • Une métonymie : « beaux yeux bruns »

    • Dans les trois premiers vers, Baudelaire introduit les personnages principaux du poème : les hommes d’équipage et l’albatros. Ces hommes prennent plaisir à capturer des albatros. L’énumération tout au long du premier quatrain accentue l’ampleur de l’albatros majestueux ainsi que l’espace aérien qu’il occupe. Ceci peut indiquer l’immensité des espaces à parcourir par l’albatros, reflétant la difficulté d’atteindre ces contrées inexplorées, ou, chez le poète, l’idéal. Une assonance de plusieurs voyelles comme « ou » (souvent, pour, gouffres), « en » (glissant, souvent, indolent), « a » (amuser, équipage, albatros, vaste, amers) apporte non seulement de la fluidité au poème, mais accentue l’effet de grandeur de l’albatros. L’oiseau est puissant et dominant dans son espace naturel. Comme l’oiseau, Baudelaire possède les aptitudes d’être un excellent poète et de montrer la voie à l’idéal, mais, tout comme les marins ne réalisent pas le potentiel des albatros, les contemporains de Baudelaire ne perçoivent pas les qualités qu’il possède. Ils sont obnubilés par la tâche qu’ils doivent accomplir et ne prennent pas le temps de réfléchir. Ils suivent des règles et des traditions inexactes ou même entièrement fausses.

    • Filles de Minos sont Phèdre et Ariane. Mini est le roi de Crète et Ariane est la soeur de Phèdre

      [cité] Ariane s’éprit de Thésée lorsqu’il arriva en Crète pour être livré au Minotaure. Aidée par Dédale, elle le guida hors du Labyrinthe grâce à un peloton de fil. Mais Thésée, qui avait promis de l’épouser une fois de retour à Athènes, l’abandonna en chemin sur l’ile de Saxo.

    •  
      “Le vaisseau qui le mit sur nos bords” réfère aux récits se des nombres exploits de Thésée. “Nos bords” sont bords d’Athènes.

    • C’est la Crète où Minotaire habite.

    • Il n’est pas difficile d’imaginer une grande mer, mais ici, l’auteur utilise le mot « vaste » pour décrire les albatros. La position du navire au milieu de la mer représente l’isolement, la séparation de ces deux mondes. Ainsi, cela montre la difficulté de « s’élever » au monde de l’idéal. Ce vers est immédiatement mis en opposition avec le vers suivant « indolents compagnons de voyage ». L’oiseau ennuie les hommes d’équipage. L’albatros est donc extrêmement adapté face à l’ampleur de la mer, mais pas au plancher des navires ainsi il est une gêne pour les marins, mais ceux-ci ne cherchent pas à comprendre autre chose que leur tâche. Le poète cherche à nous expliquer cette même sensation qu’il éprouve. Il n’est pas adapté au monde terrestre, à sa condition humaine et possède les vertus, les réponses qui peuvent nous guider vers l’idéal.

    • La mer est représentée de façon négative, « les gouffres amers ». Le « spleen » est un mot anglais repris par Baudelaire. C’est la bile noire sécrétée par le foie et qui caractérise un état de mélancolie, même de dépression face à la condition humaine et à l’incompréhension que le poète éprouve. Pour les albatros, les rois de l’azur, qui sont soi-disant « maladroits et honteux » (mentionnée au vers 6), l’océan et les tempêtes ne sont pas des obstacles pour ces oiseaux parfaitement adaptés. Les albatros sillonnent les mers quotidiennement et atteignent leurs destinations aisément. Ainsi, Baudelaire établit encore une fois la correspondance entre le poète et l’albatros. Les albatros pourraient les aider à naviguer les mers, mais les hommes ne réalisent pas l’importance et l’utilité de cet oiseau. Ainsi, le poète est non seulement incompris, mais ne peut montrer à ses contemporains comment éviter le spleen. Ses contemporains ne veulent pas l’écouter, ne l’écoutent pas ou tout simplement ne l’écoutent pas en censurant ses œuvres afin qu’il ne puisse pas partager ses idées.

      Dans cette première strophe, l’allitération du son « v » (comme « souvent », « vastes », « suivent », « voyage », et « navire. ») non seulement accentue la signification de ces mots-clefs, mais apporte une certaine fluidité au poème. Après avoir lu la première strophe, les albatros deviennent des jouets pour les hommes. Ainsi, le poète est incompris et est la cible des moqueries de ses contemporains. Malgré le soutien de quelques fameux contemporains comme Victor Hugo et Gustave Flaubert, la grande majorité des critiques littéraires ont jugé son recueil immoral et ont censuré six de ses poèmes.

  • Ethan Ashley

    • Aussi, la rose indique un sens de la vie et la nature qui fonctionnent en conjunction comme un cadre pour la première strophe du sonnet et pout le poème dans son ensemble.

    • On voit une allusion à la jeunnesse qui continue le comparison entre la jeune fille Marie (sa muse) et la rose. Cette verse contraste aussi avec le titre, soulignant un sentiment de l’expectation de la mort de Marie dans le lecteur. Avec ce sentiment, le lecteur est encore en anticipation de la descente de la vie à la mort.

    • Avec ce vers, nous voyons la structure des rimes d’un sonnet (ABBA). Couleur rime avec fleur dans le vers précède. Cette structure là constitué le centre de la première strophe (BB), en continuant la thème de la vie et la nature. Cela donne l’image de la vie et de la nature au centre de la première strophe aussi.

    • Structurellement, ce vers rime avec le premier vers (A) du sonnet de faire un retour à l’idée d’une rose. Aussi, la personification de l’Aube, peut-être un allusion à la mythologie grecque, continue le comparison entre le domaine humaine et la nature.

    • Avec ce vers ici, nous voyons une petite descente à travers le mot repose qui donne l’idée de la mort. Dans la structure du sonnet, le most repose fait un lien avec le mot rose établissant la progression du voyage de la rose (éventuellement jusqu’à sa mort).

    • Encore, nous voyons une allusion à la mort. Le mot embaumant continue de donner l’idée d’une progression vers la mort comme le lecteur est rappelé de l’embaumement d’un cadavre.

    • Ce vers se connecte rythmiquement  avec le vers précède par l’utilisation des virgules. Cette structure augmente l’intensité du vers, en tirant le lecteur plus proche. Ce mécanisme grammaticale sera vitale à la thème d’une descente de la mort qui est révélé dans le vers prochain.

    • Le mot languissante évoque l’idée de la détérioration de la rose, qui meurt. Aussi, le mot déclose avance la structure du sonnet et fait une lien à la mot rose. Cela crée un espace entre la vie et la mort.

    • Le deuxième composant de la structure des rimes du sonnet (CCD) commence dans ce vers là. Le mot, nouveauté invoque encore un sens de la vie. Cela renvoie le lecteur au sens de la vie ou que l’on voit initialement dans la première strophe

    • Aussi, la répétition du mot ciel attire notre attention sur la première strophe, obligeant le lecteur à faire lui-même le retour.

    • Nous voyons l’utilisation d’un image de mythologie grecque (“La Parque”), qui continue le comparison entre le domaine humaine et la nature. Le fait que “La Parque” est responsible pour la mort de la rose (ou Marie) implique que c’est cet espace entre le domaine humaine et la nature qui est vraiment responsible pour sa mort éventuelle.

    • Nous voyons ici comme Ronsard fait la même descente dans la mort qu’il a faite dans les strophes précédent, continuant le processus de descente et retour.

    • Il y a une allusion à la naissance (par la phrase “plein de lait”). Cela évoque l’idée qu’avec une compréhension de ce processus de descente et retour que le lecteur a complété à ce moment là dans le poème, il y aura la vie une fois de plus.

    • Ronsard utilise le subjonctif ici (“soit”) qui évoque un sentiment d’espoir ou de souhait ou de possibilité. Ainsi, nous pouvons interpréter cette conclusion avec un sentiment d’ambiguïté concernant ses sentiments de la mort de Marie.

    • Avec l’utilisation d’une image de la mythologie grecque (La Parque), nous avons un espace entre le domaine humain et la nature ou l’univers. Peut-être, “La Parque” est-elle responsable de la mort de Marie, donc c’est vraiment cet espace entre les deux domaines qui la tue.

    • plaint – un mécontentement

      obstiné – têtu ou persévérant

      rêts – un artifice ou ruse

      tendues – une corde, en tension

      maux – mal

       

    • Avec cette strophe, nous avons l’amplification de la douleur et le chagrin. Cette amplification est évoquée par les mots comme “peines dépendues,” “mille morts” et “tristes plaints.” Nous recevons un image d’une fille dans un désespoir profonde. Un élément de souffrance est introduit avec cette strophe et crée un tension avec la strophe précédente. Le contraste présenté dans la strophe ici force le lecteur à naviguer une espace entre les deux domaines (celle de la douleur et celle de l’amour) qui met en scene une synthèse des deux dans les strophes prochaines.

    • Comment est-ce qu’on purifie l’âme? Est-ce possible de la libérer du corps avant la mort? Sinon, comment vivons-nous face à cette réalité? Le poème “Élévation” (1857) de Charles Baudelaire soulève ces questions essentielles sur la tension entre l’âme et le corps. Conformément à la question posée par Platon dans Le Phédon au moment où Socrate postulait la libération de son âme après sa mort, et alignée avec la question de Du Bellay qui demande, “Que-songes-tu, mon âme emprisonnée?”, Baudelaire examine la nature de l’âme et l’esprit dans le contexte de la mélancolie de la vie moderne (ou le “spleen”).

      De même, le tableau réaliste de Jean-François Millet, La récolte de la pomme de terre (1855), offre un cadre dans lequel nous pouvons approfondir les idées de Baudelaire. Le contexte du mouvement réaliste met l’accent sur la vie quotidienne qui s’écarte du sublime du romantisme. Les mots que Baudelaire utilise, comme « l’immensité profonde », « miasmes morbides» et «vastes chagrins » créent un espace où les lecteurs peuvent réfléchir à cette question fondamentalement humaine pour eux-mêmes. Néanmoins, naviguer dans cet espace n’est pas une tâche facile. Notre plan d’attaque consiste à souligner certains composants du travail de Millet pour fournir au lecteur une image visuelle des mots et des concepts de Baudelaire. Cette stratégie créera un lien entre les images et les mots, permettant au lecteur de devenir un spectateur (et vice versa), provoquant la relation émotionnelle et sensorielle à la fois aux œuvres d’art. Ainsi, en tant que lecteurs, nous devons nous engager à analyser les idées provoquées par chaque vers du poème de Baudelaire tout en les rapprochant des thèmes exploités par l’œuvre de Millet.

    • Nous voyons une image distincte de la nature. L’utilisation de mots tels que «étangs» et «vallées» évoque un sentiment de liberté qui semble être proche de l’âme. Le premier vers crée aussi la première rime (A) de la structure ABBA de la première strophe. Si l’on examine le tableau de Millet, on peut voir ce sentiment de liberté à l’arrière-plan des vallées ornées de lumière du soleil (ligne 1).

    • Dans le deuxième vers, Baudelaire poursuit une notion du monde naturel et de la liberté en énumérant des éléments comme «montagnes», «bois» et «nuages». Cette structure crée un rythme qui attire le lecteur au cœur de la première strophe. En outre, les images invoquées dans ce vers perpétuent l’arrière-plan du tableau de Millet comme indiqué dans le premier vers.

    • L’utilisation et la répétition de la préposition spatiale «Par delà» crée la notion d’un domaine qui existe «au-delà» de l’expérience humaine. Le mot «éther» a une double signification. Au sens littéraire, le mot indique les régions supérieures de l’air au-delà des nuages. Cependant, en chimie, l’«éther» est un liquide très inflammable qui est utilisé comme anesthésiant et comme solvant dans le processus industriel. Ainsi, Baudelaire vacille entre la nature et le monde industrialisé de l’homme. Nous voyons ce contraste dans l’œuvre de Millet entre la beauté du soleil et l’obscurité des agriculteurs et leur tâche monotone (ligne 2).

    • Une fois de plus, nous retournons au confinement de l’âme et de l’esprit. Ce vers s’accorde avec la notion humaine des «étoiles», signifiant le monde «au-delà». Il devient clair que Baudelaire envisage quelque chose au-delà de notre compréhension des étoiles. Ce vers fait un lien avec les premiers vers et complète la ABBA rime.

    • La deuxième strophe commence par le mouvement de l’esprit comme indiqué par le verbe «mouvoir». Ce mouvement est lié à la même notion de mouvement et du rythme de la première strophe. Si l’on regarde le tableau de Millet, le spectateur est immédiatement attiré vers la lumière dans le quadrant supérieur gauche. Cependant, le spectateur est alors chargé de se déplacer à travers la toile (de gauche à droite) atterrissant finalement sur les agriculteurs. Néanmoins, il y a un sens distinct du mouvement au début de cette strophe.

    • Baudelaire fait une comparaison directe (comme l’indique le mot «comme») pour créer l’idée de mouvement. Le placement des virgules dans ce vers met l’accent sur l’image du “nageur qui se pâme dans l’onde.” Si nous revenons à l’œuvre de Millet, le ciel et les champs occupent une espace ouvert qui est similaire à un plan d’eau. Le spectateur est obligé de «nager» à travers la toile juste comme le lecteur est obligé de nager à travers les domaines que Baudelaire crée par ses mots.

    • Baudelaire s’adresse directement à son esprit par l’utilisation du pronom personnel «tu». Ainsi, il crée une allégorie, forçant le lecteur à s’adresser à son propre esprit. Le verbe “sillonner” continue le thème du mouvement, mais le lecteur doit se demander: comment est-il possible de comprendre quelque chose qui fluctue ou “sillonne”? Par rapport aux personnages de l’œuvre de Millet, le spectateur doit se demander où réside son âme et son esprit. Est-ce que l’âme existe dans le corps ou ailleurs? Peut-être dans «des étangs» ou «des nuages».

    • Quand Baudelaire emploie l’adjectif «volupté», il crée un retour aux sens humains. Le rapport du mot à la sensualité indique un retour à l’existence humaine. Le mouvement de l’âme comme «un nageur» n’existe plus dans le ciel. Ce retour est vu dans le travail de Millet où le spectateur rencontre l’obscurité de la toile (déplacement de gauche à droite). Ainsi, à la fin de la deuxième strophe, la structure des rimes (ABBA) ramène le lecteur dans le domaine humain (ou Le Spleen ligne 3).

    • Ce vers fait allusion à la mythologie grecque. Thésée avait accompagné Pirithoüs aux enfers. Pirithoüs voulait enlever Proserpine à son époux Pluton, le dieu des enfers dans la mythologie grecque.

    • Les objets dans ce sens là font allusion aux autres filles avant Phèdre que Thésée avait aimées. Son allusion à ces femmes peut être interprétée en rapport avec ses propres désirs pour Hippolyte.

    • <<Les enfers>> qui sont évoqués dans ce vers font allusion au fait que, selon la mythologie grecque, Thésée a voyagé avec Pirithoüs en enfer pour enlève Persephone.

  • Maddie Horn

    • Dans cette strophe, Baudelaire utilise encore le langage de la hauteur et de l’envol: « envole-toi. » Il utilise un pronom personnel et parle directement à son âme. Il demande à son âme de s’évader de la vie quotidienne représentée par des « miasmes morbides. » L’odeur d’un « miasme » est insupportable comme celle d’un champ de pommes de terre dans le tableau de Millet où l’odeur du sol et de l’engrais créent une ambiance désagréable.

    • Une fois de plus, Baudelaire utilise un mot associé au ciel, « l’air. » Le ciel représente tout ce qui existe au-dessus de la surface de la terre. Cela montre, en rapport avec l’adjectif « supérieur » le sens du paradis et de l’au-delà, ce qui se lie à la libération de l’âme. Le verbe « se purifier » aide à comprendre l’idée de la transition à l’état de conscience en éveil. Dans beaucoup de religions, si on purifie son esprit, on peut atteindre le paradis.

    • Cette transition à l’état de conscience en éveil est parallèle au sentiment d’ivresse. C’est pourquoi Baudelaire fait référence à la « pure et divine liqueur. » On perd contrôle de son propre corps et par conséquent son esprit est libre de faire ce qu’il voudrait.

    • « Le feu » est représentatif du soleil, revenant à l’idée du ciel. Le soleil donne la vie et symbolise l’esprit conscient. Et plus, le soleil est représentatif de l’inspiration et des idées géniales. Quand il illumine « les espaces limpides » il donne du sens à la vie et crée la clarté dans un esprit troublé et flou réalisant son destin. La lumière qui éclaire derrière les nuages dans le tableau montre comment pendant la vie ennuyeuse, notre inspiration et notre esprit sont bloqués par les activités habituelles.

    • Le spleen ou « l’ennui » suscite le désir d’échapper au quotidien. Il voudrait s’élever au-dessus des limites terrestres. Avec son voyage intérieur, qui est lié à l’immortalité de l’âme proposée par Platon, il cherche le bonheur et la satisfaction dont il a besoin, ce qui manque à sa vie quotidienne. Millet montre aussi cette idée de l’ennui par les paysans dans le champ de pommes de terre, un symbole de la terre et de la vie terrestre.

    • La brume bloque son esprit, son opinion, et ses idées. C’est ce que Baudelaire voudrait fuir quand il libre son âme dans un domaine au-delà de la vie quotidienne. Le ciel « brumeux » est aussi montré dans le tableau de Millet par les nuages à l’arrière-plan. La brume crée une image de la tristesse et peut obscurcir notre vision et affaiblir notre optimisme.

    • L’allusion à « une aile vigoureuse » crée la métaphore d’un ange en vol. Les ailes sont l’expression de l’aspiration de l’âme vers une condition supérieure à l’homme, c’est-à-dire l’aspiration à transcender la condition humaine. Les ailes sont l’expression de la liberté de laisser les choses terrestres à la suite de la contemplation et d’atteindre le paradis. L’image d’un ange est toujours représentée par la couleur blanc, donc le ciel blanc à l’arrière-plan montre l’existence d’un ange aux portes du paradis.

    • Le verbe « s’élancer » continue le motif du vol et du ciel. Ce motif représente l’aspiration de Baudelaire d’élever sa conscience et d’explorer les royaumes au-delà de notre existence quotidienne. « Les champs lumineux et sereins » représentent la perfection du paradis et l’immensité des grands espaces au-dessus des nuages.

    • « L’alouette » est un oiseau très populaire, apparaissant dans la littérature, le chant, la mythologie, et même la religion. Les alouettes ont une forme de croissant sur leurs seins. La forme du croissant signifie souvent des qualités lunaires, et la lune est souvent liée au concept de soi. Par conséquent, l’alouette reflète le voyage vers l’intérieur qui est souvent associé à la découverte de soi. Dans le tableau on peut imaginer les alouettes voler vers le soleil, apportant leur sagesse.

    • Dans ce vers, Baudelaire fait encore référence aux aspects du ciel et du voyage à l’Idéal. « Le libre essor » représente la libération de l’âme vers l’Idéal s’échappant de la vie quotidienne et monotone et entrant dans l’Idéal.

    • Alors que Baudelaire se délecte de son état élevé, il « comprend » les choses qui sont dehors de sa compréhension ordinaire, ce qui n’était pas possible avant son voyage intérieur. On peut seulement avoir le sens de la vie après que son âme est libérée de son corps.

    • “Le langage des fleurs et des choses muettes” fait référence à un langage différent du nôtre. Ces symboles ont leur propre « langage » et seulement quelqu’un qui atteint un état de conscience supérieur peut les comprendre. « Muet » signifie qu’il ne va jamais être capable de les exprimer suffisamment avec le langage des êtres humains. Au mieux, il peut offrir une perspicacité de la beauté qui existe au-delà du quotidien.

    • Sur la mort de Marie est un sonnet qui a 4 strophes. Les deux premières strophes consistent en 4, un quatrain, vers et les deux dernière consistent en 3 vers, un tercet. Chaque vers est un alexandrin, un vers avec douze syllabes. Le schéma rimique du poème est ABBA ABBA CCD EED.

    • Ronsard fait référence à la rose dans le premier vers introduire le sujet du poème, qui est aussi une métaphore de son amour, Marie. Il introduit aussi le mois de mai qui est un mois pendant le printemps, une symbole de la naissance et de la jeunesse. Le motif de la jeunesse continue pendant le premier quatrain et le premier tercet.

       

    • Il commence le poème parlant du début de la vie de la rose. Tout au long du poème, Ronsard retourne sa veste sur la notion du temps. Il alterne entre le début et la fin, our mort, de la vie. De plus, il commence à personnifier le rose quand il parle de sa “belle jeunesse,” un terme qui est plutôt réservé aux humains.

    • Dans ce vers et aussi dans vers 9, Ronsard utilise les mots comparatives. “Comme” et “ainsi” montre une comparaison entre deux chose qui est symbolique de la comparaison entre la rose et Marie.

    •  
      Ce vers encore montre la personnification de la nature. “Le ciel jaloux” donne le ciel une caractéristique humaine, peut-être montrant la différenciation de la vie humaine et la vie de la nature.

    •  
      L’Aube qui pleure accentuer plus profondément l’idée de la nature étant des habits humains. 

    •  
      Ici, le rose est personnifié avec sa grâce, nous montrant encore le parallélisme entre la rose et Marie. 

    •  
      Encore on voit la fin de la vie où la pluie et la chaleur battue le rose, qui une fois encore personnifie la nature et la cruauté de la mort, quelques des motifs pendant le poème. 

    •  
      On voit dans ce vers le début de l’idée de la mort. “Embaumant” a un double sens ici, le verbe embaumer peut signifier la conservation d’un cadavre ou l’épandage d’un parfum. Le premier montre le cercle vicieux de la mort et le dernier donne un air de la beauté et de la fraîcheur. 

    •  
      Ce vers est connecté au vers précédent. Il montre le fuite du temps et la mort. Mais, Ronsard décrit lyriquement la descente dans la mort. 

    •  
      Ici, on voit le parallélisme entre ce vers et le deuxième vers. Il revient à l’idée de la naissance. Il répète cette idée avec Marie, montrant encore la comparaison entre Marie et le rose. Aussi, il utilise “ainsi” un mot de la comparaison comme le premier vers.

    •  
      Encore, pendant le tercet sur Marie, Ronsard retourne à la personnification de la nature avec la terre et le ciel qui honorent Marie. Aussi “beauté” dans ce vers rime avec “nouveauté” du vers précédent montrant le motif de la jeunesse.  

    •  
      Ronsard encore une fois mentionne la mort, mais cette fois avec Marie, montrant le cycle de la vie et de la mort.

    •  
      Ronsard finalise le poème avec une référence à l’éternité et la vie après la mort. Ce vers rime avec le onzième vers qui indique encore comment Marie va toujours rester comme un rose. Par nous montrant que Marie métamorphose en rose, on voit comment Marie et la fleur sont connectées pour toujours et pour la vie.

    •  
      Ronsard utilise le mot “plein” deux fois pendant ce vers, évoquant comment Marie était plein de vie. 

    •  
      Ronsard fait référence aux pleurs pour nous apporter dans un état d’esprit triste.  

    • Dans ce vers Labé commence à montrer comment elle souffre dans sa relation avec les adjectives “tristes” et “obstinés.”

    • Cette malsaine relation est découvert et ce qu’il a duré longtemps.

    • Ce vers montre comment elle est piégée dans sa relation et veut s’évader.

    • Elle pense si cette situation va durer toujours ou si elle peut sortir si ce n’est pas trop tard.

    • Dans ce vers, elle exprime la tristesse qu’elle avait senti pendant longtemps du fait de sa relation désapprobatrice. Elle crie à cause de sa tristesse mais aussi sa peur que ne s’évadera jamais.

    • Elle voudrait voir son amant compati à sa souffrance. Pourquoi doive-t-il continuer?

    • La lumière est symbolique pour l’espoir. Elle peut voir une petite lueur d’espoir que sa souffrance va terminer comme voyant la lumière au bout du tunnel.

    • Dans cette strophe Labé montre la violence et la douleur qu’elle sent avec des mots comme “feux,” “dards,” et “dépiter.”

    • Ici, elle fait acte d’autorité. Elle ne peut pas supporter le choc émotionnel de cette relation. Elle est nocive, affectivement et physiquement. Son esprit et corps ne peuvent pas le prendre plus.

    • Thésée a navigué à travers les eaux crétoises pour vaincre des monstres afin de prouver sa dignité des filles de Mino, Phèdre et Ariane, avec qui Thésée avait une relation avec aussi. Phèdre, tout comme les autres femmes de sa famille, a tendance à ressentir des désirs généralement considérés comme tabous.

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      Thésée a navigué à travers les eaux crétoises pour vaincre des monstres afin de prouver sa dignité des filles de Mino, Phèdre et Ariane, avec qui Thésée avait une relation avec aussi. Phèdre, tout comme les autres femmes de sa famille, a tendance à ressentir des désirs généralement considérés comme tabous. 

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      Sa mère, Pasiphaë a été maudit par Aphrodite de tomber en amour et de s’accoupler avec un taureau blanc, donnant lieu à la légendaire Minotaure

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      Phèdre rencontre Thésée, son futur mari, quand il arrive sur la scène minoenne pour tuer son monstrueux demi-frère, le minotaure.

  • Paige Buell

    • Le poème consiste en trois strophes de six vers alors,c’est un sixain. De plus, il est composé d’octosyllabes parce que chaque vers a huit syllabes. La disposition des rimes est AA B CC B…

       

    • Dans ce vers et le prochain, Ronsard montre que la beauté est brève. La rose n’existe que pour une journée. La nature vole sa “robe pourprée” très vite.

    • Ici nous voyons comment la rose est similaire à Cassandre. La vieillesse volera la beauté de Cassandre comme la nature l’a volée de la rose.

    • Les deux, la rose et Cassandre, ne peuvent pas protéger leur beauté. Elles la perdront avec le temps qui passe. À cause de cela, Ronsard encourage Cassandre à vivre dans le présent. Nous ne saisons pas mais il est possible que Ronsard veut qu’elle vive dans le moment avec lui. Peut-être il veut sortir avec elle alors il encourage “carpe diem.”

    • Ronsard demande que Cassandre tienne fermement à sa jeunesse et sa beauté. Elle doit l’utiliser pendant qu’elle peut. Il y a un message de carpe diem. Il faut que Cassandre vive dans le moment.

    • La nature est cruelle et elle prend la splendeur de la rose qui est similaire à la magnificence de Cassandre.

    • Pendant qu’elle est belle et jeune Ronsard insiste que Cassandre apprécie sa vie.

    • Il utilise une robe de pourpre comme une métaphore des pétales rouges.

    • Dans ce vers et le deux suivant, Ronsard demande à Cassandre de voir comment la beauté de la rose est perdue.

    • Cette strophe est un tercet composé de trois vers. Chaque vers a dix syllabes alors ce sont des décasyllabes. La disposition des rimes est embrassée, si on compte le dernier vers dans la strophe precedent. La disposition est ABBA. La rime A est féminine et pauvre.Elle se termine avec un “e” et un seul son rime. La rime B est masculine et pauvre. Elle ne se termine pas avec un “e” et un seul son rime. La rime produit un rythme lentement.

    • Nous pensons que le feu et l’étincelle représent l’amour passionné. Mais il est évident que le feu la brûlerait. Nous pensons que le feu représente un homme.  Cet homme l’a brule mais il n’a pas le touché. On peut voit ca dans la dernière vers “N’en est sur toi volé quelque étincelle.” C’était une amour nonpartagé.

    • Elle était amoureuse avec lui, mais il ne sentit la même. Labé sent la chaleur du feu de l’amour passionné, mais la feu ne le touche pas. Il l’a rejetée.

    • Encore, le son « Ô » dans ce vers suggère l’expression de l’érotisme et de l’insatisfaction. Elle est exaspérée par les cruautés injustes qui se passent. Ces exaspérations sont évidentes dans « Ophelia » aussi. Ophelia porte une guirlande de violettes. Les violettes représentent la fidélité et le dévouement. Puis que les violettes sont autour de son cou, il semble que les violettes, qui symbolisent ce qu’elle veut, l’étranglent.

    • Labé demande aux dieux d’avoir de la compassion. Elle cherche l’amour, mais elle ne l’a pas trouvé, alors elle veut que les dieux comprennent sa peine.

    • La passion dont Labé parle est à l’état brut et peut être sentie de son cœur à son corps.

    • -Ici, on peut vraiment voir comment Labé évoque son corps pour montrer la douleur. Elle sent ses émotions dans sa chair qui est engourdie à cause de ses désirs.
      -La peinture Ophelia exprime le même sentiment. Le sujet, Ophelia, a une expression très vide, comme si rien ne peut la faire sentir des émotions. Son corps semble figé, elle est complètement blessée par l’amour. Comme chez Labé, nous voyons la douleur inscrite sur son corps. Aussi nous pouvons voir que son corps commence à sombrer. Le poids de sa peine la pousse dans l’eau.

    • Ce vers évoque l’image d’un corps mutilé par la blessure des amours passées. Il n’y a plus de place sur son corps où Cupidon peut la tirer avec un amour nouveau. Le corps est central à l’expression de la douleur chez Labé. Elle représente sa peine émotionnelle comme la souffrance physique, ce qui donne au poème de la sensualité.

    • -Il est montré ici que Labé, la femme instruite et privilégiée que nous avons décrite, était affectée par le pouvoir de l’amour non partagé et du désir inassouvi. Elle explique qu’elle ne peut plus être peinée parce que l’amour l’a blessée d’une manière si douloureuse dans son corps.
      -Ophelia aussi sent la peine des désirs inassouvis. C’est évident -par le positionnement de ses bras. Ils sont dans une position soumise, alors nous savons qu’elle accepte son destin. Ophelia succombe à la peine et à la souffrance; elles sont trop fortes. Pour Ophelia, la mort est le seul moyen d’échapper.

    • Dans la peinture Ophelia par John Everett Millais (1951), il y a un contraste entre la mort d’Ophelia et la nature luxuriante. Pendant que son corps coule au fond de la rivière, elle est entourée de fleurs et de végétation. Millais a utilisé la nature comme un symbole des émotions qui conduisent Ophelia à sa mort. Le saule et les orties représentent la peine et l’amour abandonné. L’amour en vain, ou comme Labé a écrit, les « espérances vaines » est représenté par les pensées.

    • Le monstre de la Crète est le Minotaure qui était l’enfant de la mère de Phèdre (Pasiphaé) et un taureau. Le père de Pasiphaé, Soleil, a vu Vénus avec Mars alors Vénus a puni toute sa famille. C’est pourquoi Pasiphaé était éprise d’une Minotaure.

    • Ici, elle fait référence au labyrinthe où Minos (le père de Phèdre) a mis le Minotaure. Il était honte que sa femme a eu les relations avec un taureau, alors il a caché la bête au labyrinthe.

    • La sœur de Phèdre s’appelle Ariane. Elle a aidé Thésée à vaincre le Minotaure. Elle a aimé Thésée, mais il préférait sa sœur (Phèdre).

Source: https://web.colby.edu/provocativetexts/comments-by-commenter/